Ces croyances qui ne nous appartiennent pas nous collent à la peau
Je partage avec vous une partie d’une réponse que j’ai donnée suite à une question qui m’a interpellée un jour car je pense que le point de vue est intéressant et cela peut donner des pistes de réflexion. Je précise que tous ces propos n’engagent que moi.
Vous savez, j’ai passé dans une sorte de nouvelle partie de ma vie qui est juste incroyablement riche en découvertes, en apprentissages et en formation. Je me forme, j’ai des personnes qui m’aident et je vais chercher des solutions, de l’information ou des idées parce que j’aime délivrer à mes clients du vécu et du vrai.
Tout ce que je mets en pratique, fonctionne pour moi.
Tout ce dont je parle, je l’ai vécu et je l’applique au quotidien.
J’écoute et je me forme et certaines fois, je suis heureuse de transmettre à d’autres mes connaissances.
Je donne le choix à ceux qui me lisent ou qui de choisir un chemin, leur chemin.
Si ce message vous parle, tant mieux, je suis ravie et si ce n’est pas le cas, c’est OK aussi.
Vous avez toujours le choix.
Je n’ai pas la science infuse, personne ne l’a d’ailleurs.
Je suis là pour tendre la main à ceux qui la veulent.
Mais qu’en est-il de ces croyances qui nous traquent ?
Dans notre société, on cherche à tout prix à mettre des mots sur nos maux. On veut savoir. Notre cerveau a horreur du vide. On cherche à tout prix à éradiquer la douleur, le malaise, le trop ou le pas assez, le manque ou le surplus, bref, on passe sa vie à chercher à faire disparaître ces sentiments intérieurs étranges et dérangeants. Certains passent une bonne partie de leur vie sur le canapé du psy à parler d’avant, de pourquoi, de comment, de « et si ».
C’est un choix.
Avez-vous aussi ce sentiment certaines fois de ne pas avoir vraiment toutes les réponses désirées ?
En tout cas, c’est comme ça que je fonctionnais et c’est comme ça que je pensais.
Selon certaines statistiques, on prétend que 90% des consultations parlent de sentiments qu’on refoule ou qu’on veut à tout prix se débarrasser.
Des thérapies, j’en ai fait. Plusieurs. J’ai appris beaucoup de choses sur moi et sur les autres mais j’ai aussi eu le sentiment que plus j’apprenais, plus mon esprit s’embrouillait.
En fait, ça dépendait de ce que je cherchais à avoir comme réponses!
Tout a fait son chemin.
J’ai réussi à faire la paix avec certaines choses et à mieux comprendre qui j’étais.
Aujourd’hui, je me pose toutefois une question : « Et si il n’y avait pas vraiment de réponse ? »
Le mot du jour, c’est : l’Accueil
En « très gros résumé » (car le sujet est bien grand pour débattre ici), je vous fait un résumé de ce qui me parle et que j’ai entendu en conférence et dans des livres. C’est notre système émotionnel qui a peur, ce n’est pas nous. Un bon psy vous le dira aussi je pense. Le mental répond toujours à nos questions. C’est pourquoi il faut toujours faire attention aux questions qu’on se pose… en fait, les réponses sont une forme de « compensation » à ce que nous n’avons pas encore dans notre vie ou à ce que nous pensons qu’il devrait avoir. C’est donc important certaines fois d’arrêter de s’accrocher à des croyances.
Dans la conférence que j’ai entendue, les réponses sont avant tout les souvenirs, les informations qu’on nous a envoyé et les ressentis qu’on a eu depuis notre enfance et que c’est notre mental qui a interprété à sa guise. Elle rajoutait « Un être libre ne se soucie absolument pas de son passé même s’il a vécu les pires horreurs du monde. Il s’est libéré de cela. Comment il a fait ? En arrêtant de chercher dans son passé les causes probables de ses problèmes actuels ». Et bim!
En fait, je suis assez d’accord de dire que nos problèmes ne sont pas vraiment des problèmes. Notre plus gros problème, c’est notre mental et l’importance qu’on lui donne ou plutôt les pensées qu’on croit. C’est encore lui (notre mental) qui va réactiver notre mémoire et nous faire croire que c’est à cause de ça que …. ou à cause de ça que … . C’est une vraie machine de cinéma qui, sans qu’on s’aperçoive, nous démontre qu’on a faux ou qu’on devrait faire ci ou ça, mais par rapport à quoi exactement ? Accepter et être sont les clés. C’est le chemin que j’ai pris et que je continue à prendre et cela me réussit beaucoup mieux.
Et vous ? Pensez-vous qu’il est bon d’avoir réponses à toutes les questions ?
Merci à Nasine R. pour cette belle ouverture de coeur et si j’ai piqué votre curiosité.
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